jeudi 6 mai 2010

Il était une fois une princesse nommée santé...

Afin d'entamer cette nouvelle orientation, je choisi comme thème un de mes plaisirs: les séries télé, ou plus précisément les messages prosociaux dans les fictions.
Les séries télévisées ont la particularité de raconter une histoire d'une durée indéfinie, de faire partie du quotidien de beaucoup d'auditeurs et d'être sujet de discussion. Par ces conversations entretenues par les auditeurs, un contenu, semblant superficiel aux premiers abords, peut devenir riche et significatif. Ce contenu est approfondi au sein des groupes sociaux qui parfois arrivent à des sur-interprétations. 


Ce sont généralement des normes et des valeurs qui sont diffusées par ce genre de média. Mais à un certain degré, on peut apprendre des choses ! J'apprécie beaucoup Dr House, par exemple, en ce qui a trait à la santé. D'autant plus que l'intérêt de cette série est de mettre l'accent sur la résolution de cas, et non sur les relations émotionnelles des personnages. N'ayant pas fait d'études de médecine, je peux croire naïvement tout ce qui y est dit. Néanmoins, par un épisode (saison 5 épisode 4) et ensuite par vérifications, j'ai appris qu'une zone du cerveau appelée cortex insulaire interprète la faim et les besoins pressants ("craving"), et pousse les individu à la consommation, voire à l'addiction. 

Il y a de multiples manières de consommer une télé-série. Avec jugement et critique nécessaires, Dr House ou d'autres séries sont de bons départs afin d'accroître ses connaissances, médicales ou autres. 

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