vendredi 15 avril 2011

Je l'avais dit ! Ramdam l'a confirmé.

Depuis quelques mois, je traîne sur un livre rédigé en collaboration avec le centre de recherche en médias et santé de l'UQÀM, Les médias et la santé: de l'émergence à l'appropriation des normes sociales. J'étais très enthousiaste de découvrir ce livre: 200 pages uniquement sur ce sujet qui m'intéresse.

Je le lisais l'autre jour dans l'autobus quand je suis tombée sur tout un article qui allait dans le même sens que ce que je disais en décembre dernier : l'importance de l'humour. L'article montrait plutôt l'importance de faire passer le message de façon légère et surtout de façon subtile. La série Ramdam avait le pire des publics en ce qui a trait à la résistance aux nouvelles idées: les adolescents. Avec eux, un épisode informatif est inutile, seule la subtilité dans la dramatisation pouvait les amener à se sentir concernés.
Il y a une double raison de dire qu'embêter le spectateur n'est pas la meilleure solution si on veut convaincre le public: dans la fiction, il faut que le personnage soit sympathique et il faut cacher au maximum le message à promouvoir.